A une époque ou il y avait 40% de personnes vaccinées, on pouvait dire sans mentir: la majorité des personnes en réanimation ne sont pas vaccinées.
A une époque ou 80% des personnes seront vaccinées, sauf les sénateurs et les députés, on pourra dire que la majorité des personnes contaminées l'ont été par des personnes vaccinées.
C'est fou la magie des chiffres. Est-ce qu'alors, tous les vaccinés voudront se faire dé-vacciner?
Nous n'en sommes pas là.
Nous en sommes encore à l'époque où tous les médecins doivent maintenant faire acte d'allégeance à la politique gouvernementale en allant recevoir une ou deux dose.
Sinon c'est l'exclusion des dangereux dissidents.
C'est le seul moyen de retrouver toute ses libertés, sauf une.
Celle de garder sa conscience professionnelle. Sa liberté de penser.
Une fois vacciné, la seule conscience professionnelle qui vaille devient celle de la politique de santé publique décrétée dans le journal officiel, livre le plus vicieux du monde.
Je ne crois pourtant pas être un dangereux dissident. Je n’ai juste pas pris le train en marche, je suis resté dans l'ancien monde.
Je lit encore les articles scientifiques, j'analyse.
Je ne m'interdit pas de penser quelque chose qui me dérange.
Je reste ouvert.
Et surtout, je ne transige pas avec la conscience professionnelle.
Je sais que je peux me tromper ce qui n'est pas le cas de certains.
Je fais hélas parti de cette minorité de médecins qui ont refusé de s’asseoir sur leurs principes pour adopter la politique du: "il faut vacciner tout le monde avec un vaccin totalement inoffensif."
Et moi je dit. Non, il ne faut pas vacciner tous le monde. Non ce vaccin n'est pas totalement inoffensif.
Je dis qu'il faut laisser le moins de trente ans en dehors de toute cette affaire.
Le covid ne concerne pas les moins de trente ans.
On dit qu'un enfant de bas âge est mort du covid, mais vous a t'on parlé des onze autres qui sont mort de la varicelle? Et vous a t'on parlé des 3 jeunes qui sont morts du vaccin?
Et rien que de dire cela, je commet déjà le pêché de parjure et de blasphème dans le nouveau monde.
Je n'ai pas reçu le baptême par l’extrême injection. Je ne me suis pas converti.
Mais je respecte ceux qui le font car je pense que ce vaccin est très efficace pendant 6 mois. Et quand on a 50 ans, il est bénéfique par rapport au risque.
Mais que dis-je? Voila déjà que je me remet à penser comme dans l'ancien monde.
Dans le nouveau monde, il faut dire. Bien sur qu'on se vaccine avec ce super vaccin sans effets indésirables et parfaitement efficace. évidement qu'il faut vacciner tout le monde et même les arbres et les cailloux, le monde entier ne s'en portera que mieux. Et rien ne sert d'analyser la balance bénéfice risque puisque c'est bon pour tout le monde on t'a dit.
J'en veux à mes collègues de m'avoir lâchement abandonnés.
Ils se sont assis sur leurs principes, sur leur conscience.
Ils ont renié le serment d’Hippocrate en n’écoutant pas leur conscience de médecin.
Ils ont bafoués le code de déontologie en autorisant qu'on leur retire leur libre arbitre.
Ils se sont assis à la table du diable.
Et bientôt, ils devront faire leur troisième dose et vacciner les nouveaux nés. Mais qu'à cela ne tienne, ils ont retrouvé leurs libertés, sauf une, et continuent leurs petites vies. Hélas pour eux, leur conscience ne leur appartient plus. Ils font maintenant totalement confiance à l'état et aux administrations dirigeantes qui leur dicte quoi penser, qui vacciner et de qui se méfier et à qui se fier. C'est plus simple.
Ils se sont autorisés à laisser leur libre arbitre derrière eux et en cela, ils sont tous coupables devant le code de déontologie.
Trahison ultime de la médecine française.
Traîtres à la raison. VENDUS...OUH...
Tous corrompus à la petite dose de responsabilité diluée.
Je conspue mes confrères qui me disent d'aller me faire vacciner car tout sera beaucoup plus simple.
Mais non, tout ne sera pas beaucoup plus simple.
Car je pense n'être que l'amuse bouche de ce qui va suivre.
